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Quelques informations sur le poids

 

« L’Indice de masse corporelle » (IMC) ou, en anglais, "Body mass index" (BMI) est une norme de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), adoptée de manière internationale, pour évaluer les niveaux de poids et leur risque pour la santé.

C'est un simple rapport entre:

 

Poids (en kg) / Taille * Taille (en m)

Composition corporelle:

 

Notre corps est composé essentiellement d'eau (qui représente 60 à 65%de la masse totale).

La masse maigre, c’est-à-dire les os, les muscles, la masse cellulaire représente 16 à 20% chez les femmes et 18 à 24% chez les hommes.

Ensuite la masse grasse qui évolue en fonction de l’âge, est de 19 à 30% chez la femme et de 12 à 20% chez les hommes. Les hommes sont donc plus «secs» que les femmes.

 

En effet, la graisse féminine est le lieu de tous les échanges hormonaux, c’est également la réserve d’énergie nécessaire à la grossesse et l’accouchement ainsi qu’un lieu de stockage pour subvenir à toutes les éventualités de manque .

Les mauvaises graisses

 

En dehors des limites de l’équilibre de poids, la santé peut être compromise.

En dehors d’un poids équilibré, la santé peut être compromise.

Trop maigre, le corps manque de défenses, trop gros, il devient propice à de nombreuses maladies ou inconforts.

Lorsque l’excès de graisse se situe au niveau de l’abdomen, le risque pour la santé est accru. Ainsi, un tour de taille supérieur à 80 cm chez la femme et 95 cm chez l’homme, indique la présence d’un excès de graisse viscérale propice aux complications cliniques.

L'effet yoyo et risques des régimes

Lorsque les régimes restrictifs et/ou déséquilibrés se sont multipliés et enchaînés, souvent le problème du poids "yoyo" se pose.

En phase de perte de poids, en moyenne 85% des kilos perdus sont de la masse graisseuse et 25%, de la masse musculaire.

Malheureusement, après une stabilisation mal réalisée, non structurée, ou suite à des régimes trop restrictifs ne permettant pas à l'organisme de couvrir tous ses besoins, les kilos reviennent. La reprise ne s'opère souvent, dans la majeure partie des cas, qu'en masse grasse!

Un organisme qui a été en privation, compense, il est important de souligner que les cellules graisseuses ne disparaissent jamais et sont toujours prêtes à se remplir.

La perte de poids engendre durant un temps indéfini des perturbations et inverse les taux de leptine et ghréline, hormones régulant la faim et la satiété. Les fringales et l’augmentation d'appétit sont donc des conséquences métaboliques et sont généralement accompagnées de compensations d'ordre affectif suite à des frustrations lors des régimes.

 

L'activité physique minimum requise pour le maintien du poids n'est souvent pas assurée et les bonnes habitudes de régulation des quantités ainsi que de gestion des aliments plus riches, ne sont souvent pas assimilées.

 

Les kilos augmentent plus rapidement qu’ils n’ont été perdus en phase d'amaigrissement car la graisse est plus lente à éliminer.

Selon un schéma vicieux, la personne reprend plus de poids après chaque régime et perd de plus en plus lentement et difficilement. L'organisme se fatiguant, le phénomène s'aggrave et au fil des années, la personne stocke de plus en plus de poids jusqu'à parfois atteindre des points de "non retour"...

 

L'alimentation équilibrée est toujours possible et peut permettre d'équilibrer et ajuster le tir. Le corps peut dès lors atteindre un poids de croisière et le maintenir.

Quoiqu'il en soit, maigrir trop vite, suite à des restrictions trop importantes, est néfaste et représente un mauvais calcul.

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